Les pays en développement définissent eux-mêmes leurs besoins en vaccination, mettent en œuvre les programmes de vaccination et cofinancent leurs vaccins
Les pays en développement définissent eux-mêmes leurs besoins en vaccination, mettent en œuvre les programmes de vaccination et cofinancent leurs vaccins
Notre modèle de fonctionnement repose sur le principe suivant : laisser aux pays en développement l'initiative d’effectuer une demande de soutien, de gérer les subventions au développement et, in fine, de financer leurs propres programmes de vaccination.
Les membres des pays en développement constituent un groupe essentiel de l'Alliance du Vaccin. Cinq d'entre eux, ministres de la Santé en général, représentent au Conseil d'administration les pays que Gavi soutient.
Les membres du Conseil d'administration recueillent les avis de leurs pairs afin de veiller à ce que les avis en matière de vaccination restent toujours au premier plan des priorités et des politiques de Gavi.
Les membres du Conseil d'administration représentant les pays en développement transmettent à leur groupe connaissances et bonnes pratiques, contribuant ainsi à faire connaître l'importance de la vaccination et à régulièrement accroître les taux de couverture vaccinale au niveau mondial.
Je suis profondément convaincu des bienfaits de la vaccination, pour protéger la vie et la santé des enfants, mais aussi pour assurer à mon pays un meilleur avenir économique.
Ibrahim Boubacar Keïta, Président de la République du Mali
Le soutien grandissant des pays en développement à l'égard du cofinancement des vaccins est essentiel pour la pérennité des programmes de vaccination que nous soutenons.
Le Guyana a pris les devants en 2009 en devenant le premier pays à ne plus recevoir de soutien de Gavi et à financer l'intégralité du coût de son programme de vaccination par le pentavalent. En 2014, 70 pays cofinançaient les vaccins de Gavi ; leur participation s'élevaient à plus de 80 millions de dollars (US$).